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Votre parole peut changer une vie ou la détruire



L'expérience suivante m'a appris : - à ne pas m'impliquer émotionnellement dans une idée, un projet. - Choisir mes interlocuteurs pour des échanges constructifs qui me font avancer dans un monde plus beau, plus juste, plus vrai. - à stopper le bénévolat, faire payer mes prestations ou ne rien faire. - Que critiques et jugements peuvent faire très mal sans que personne ne s'en aperçoive. Voire même que les beaucoup y participent. - qu'il est possible même en tant qu'orateur expérimenté d'avoir mal au point de ne rien pouvoir dire. - Qu'il m'était possible de perdre en imagination, joie de vivre et poésie. Depuis cet évènement, j'ai mis du temps à oser m'exprimer à nouveau comme avant et même mieux qu'avant : voir avant là.... voir après ici. - que des gens qui semblent bienveillants et intelligents peuvent devenir cruels et violent par effet de groupe, par simple entrainement. - qu'il est possible d'ignorer et de prendre plaisir à la souffrance d'autrui, ça existe et c'est vraiment troublant. - qu'il est possible de se soumettre à des idées et philosophie qui ne nous conviennent pas, par la force d'un groupe même si ce n'est pas juste ni vrai pour nous.
- Qu'une parole qu'elle soit dite ou écrite peut changer une vie ou la détruire. Peut-être que ce récit vous sera-t-il utile. Ou pas. En tout cas c'est une sorte de délivrance de pouvoir enfin le dire, même s'il n'y a plus personne pour l'entendre. De l'écrire même s'il n'y a plus de lecteur pour lire. Même s'il n'y a personne pour comprendre. Au moins ce n'est plus à l'intérieur, c'est sortie. C'est dehors, à portée de vue, hors de ma vie.
En 2018, je venais de rencontrer Frédéric Paulus par l'intermédiaire d'Evelyne Grasperge. Fred avait l'idée de crée une maison relais pour les parents. J'ai trouvé l'idée intéréssante et porteuse, alors je m'y suis impliqué, pensant que nous pourrions alors offrir à de nombreuses familles, exactement ce dont j'aurais eu besoin lorsque j'étais petit. Alors je l'ai aidé à organiser un évènement pour la création de maisons relais de famille où parents et enfants pourraient discuter. Je l'ai fait de façon bénévole, sans rien attendre en retour. Dans cette rencontre il y a avait chercheurs, employés de mairie et psychologue. Les discussions étaient selon moi trop tournées vers l'intellectualisation et peu vers la réalité. J'ai cité plusieurs exemples concrets dont celle d'une femme battue qui m'a demandé de la prendre en stop, je n'ai pas été cru. Ce qui m'a le plus choqué c'est cette affirmation que "tout le monde n'a pas les moyens intellectuels de s'exprimer et de comprendre." Enfin je suis tombé dans une sorte de traquenard d'analyse psychologique pour être soumis à un examen de conscience orchestré. C'est là que j'ai reçu la plus longue (6 pages word en Arial 12) et la plus élaborée des des lettres de dénigrement et de colère de toute mon existence par un psychologue d'orientation professionnelle des jeunes et expert en Gestalt Thérapie (c'est la gestion d'émotion il me semble) L'employé de mairie de Saint Benoit présent à l'évènement et dans les échanges de mails me confia par la suite, qu'il a trouvé ça très jouissif de me voir prendre cette raclée. Comme si c'était une jeu, une joute, peut-être un combat de catch ou de gladiateur. Qui sait ? Cet examen de conscience je l'ai vécu comme un viol psychique collectif à la fin duquel je me suis totalement soumis. Aucun appel à l'aide, ni aucune détresse de semblait venir de moi. Alors même que j'étais anéanti en confiance et en estime pour salaire de mon bénévolat. Pour avoir rêvé d'un monde meilleur sur lequel je pensais pouvoir agir. Aucune discussion, aucune rencontre ni aucun appel pour être accueilli dans mes émotions. Et comme je ne verse plus de larmes depuis la mort de ma mère, je pleurais à l'intérieur. A cela s'ajoutait alors d'autres aventures où je ne trouvais pas ma place sur le plan professionnel, étant devenu une sorte de serviteur asservi qui tel Joseph lorsque sont maître lui demande ce qu'il pense de le promouvoir en tâches parce qu'il sait lire et écrire et qui répond : "un esclave ne pense pas de lui même". Je ferais selon la volonté de mon maître.

Voici cette lettre puis ma réponse Bonne lecture.

Suite à notre réunion du 31 octobre à la mairie de Bras-Panon, nous avons eu plusieurs sollicitations pour faire part de nos retours. Je prends du temps aujourd’hui pour le faire sachant que ce sera sans doute la première et la dernière fois car, je n’ai pas de temps à perdre dans des échanges trop peu construits voire problématiques à mon goût. Je m’en explique ci-dessous. 1er acte : La réunion du 31/10/2018 Réunion d’environ 8 personnes - que des professionnels et un enseignant à la retraite. Pas de parents, ni de parents voulant être relais dans le cadre du projet présenté aux participants en amont. Réunion pas désagréable mais générant une incompréhension globale sur :1/ L’objectif 2/ Les moyens et 3/Les contenus 1/ L’objectif était de participer à des groupes de parents relais qui aideraient de jeunes parents (ou moins jeunes) dans leurs difficultés éducatives. - aucune évocation en rapport avec cela de façon claire pendant cette réunion. Pas de rappel de l’objectif, des constats préalables, du cadre du projet… 2/ Les moyens seraient-ils de monter ce genre de groupe avec les parents en difficulté ou avec les intervenants parents relais ? - On ne sait. Pas plus d’évocation la dessus. 3/ Les contenus auraient pu être : Comment on construit ce projet ? Comment on réunit les participants ? Vers qui on se tourne ? Quelle stratégie d’organisation ? Quels attendus ? Quelle démarche ? Quelles compétences on entend mettre en œuvre et développer… ??? - Ici non plus aucune évocation lors de la réunion… Au lieu de cela, qui eut été à minima une démarche de projet, nous avons : - Fait un tour de table introspectif des participants sur leur questionnement général que certains d’entre nous ont tenté de ramener à la problématique sensée nous réunir. Pas désagréable au demeurant mais aux allures d’un groupe de rencontre, groupe de parole pour lequel nous n’étions évidemment pas là. - Entendu un exposé trop rapide de F. Paullus sur ses références théoriques concernant la génétique et l’accompagnement psychologique. Trop rapide, trop complexe et qui aurait certainement laissé pantois ou confus les parents s’il y en avait eu… Voilà mon 1er retour sur cette réunion inaugurale d’un projet qui mourra sans doute dans l’œuf faute de clarté et disons clairement de professionnalisme. Il ne suffit pas de parler de soi pour qu’un projet se monte ! Il ne suffit pas de parler de soi pour aider les personnes en difficulté ! Je souligne cependant mon intérêt pour 2 ou 3 interventions de personnes qui cherchèrent à exposer leur point de vue sur les problématiques parents-enfants/ éducatives / ou relatives aux postures d’accompagnement.
Ma critique d’aujourd’hui ne les concerne donc pas. J’ai même été content de les rencontrer. On notera cependant que personne n’a utilisé le groupe de diffusion pour faire des retours. Signe peut-être de l’incompréhension que je manifeste aujourd’hui. En résumé : déception sur une organisation qui n’en est pas une, mais qui ressemble à une nébuleuse où il suffirait de se raconter pour qu’un projet se construise… ???!!! (Jugement n°1) Intermède concernant l’animation de la rencontre et du rôle d’animateur joué par Farzad : Mea-culpa sur ma « gentillesse » du moment liée à mon intérêt pour ces quelques interventions dont je parlais plus haut, et ne pas prendre mon retour plutôt positif de ce jour là pour un blanc-seing méthodologique. En effet il aurait fallu d’une part, rappeler les éléments structurants dont je parlais plus haut, et d’autre part ne pas se trouver en contradiction soi-même sur la prise de parole que l’on disait devoir être partagée et explicative alors même qu’on la prenait trop et ne l’explicitait pas assez (jugement n°2). Enfin la synthèse de nos échange envoyé par Farzad le 06/11 /2018 n’est pas une synthèse mais une expression de sa pensée qui ne traduit pas les échanges que nous avons eu ce soir-là. (Jugement n°3). Transition vers les échanges de mails auxquels j’ai assisté et qui font ma 2ème déception, voir ma consternation. 2ème acte : La problématique suicidaire et les personnes en détresse. J’ai bien compris Farzad que tu demandais conseil à des amis pour répondre à cette femme qui te demandait elle-même un conseil… Que ce mail ne nous était pas destiné mais qu’il atterrit malheureusement dans nos boites pour ajouter à l’ambiguïté générale de la situation initiale. Tous tes propos pourraient être l’objet d’une analyse de texte serrée dont je n’ai pas le temps ni l’envie tant me semble impliquée une problématique personnelle et/ou une ambition dont les moyens te manquent. (Jugement n°4).
Tout à fait d’accord avec F. Maugis sur l’intellectualisation : je te lis et vois un ensemble d’assertions sous forme de dogmes, de maximes, d’aphorismes, de pensées toutes faites, voire de strophe de poèmes ( ?) récoltés et ressortit à l’occasion de ton questionnement sans ordre ni cohérence. J’y vois aussi des injonctions, commandements sans liens concrets avec la situation de référence. Enfin l’exemple de ce conférencier imbu de son savoir me semble intéressant en ce qu’il pourrait se retourner contre toi car tu sembles faire de même… Tout cela m’évoque une grande confusion et l’appel à tes deux amis pourrait s’entendre comme une demande urgente de supervision face à une impossibilité, incapacité à répondre t’entrainant dans un délire verbeux potentiellement dangereux s’il était donné tel quel ! (Jugement n°5). D’accord encore avec F. Maugis sur le fait que tes propos pourraient te faire passer pour un « illuminé aveuglé par ta passion pour le verbe » Mais ce n’est pas fini car tu souhaitais répondre encore, répondre à n’en plus finir… Dans une accumulation de verbes, de paroles, de phrases, monologue qui devient une langue parlante plutôt qu’une langue parlée. Ce qui veut dire que cela parle plus de toi (langue parlante… de toi, de tes soucis, de tes problèmes…) que de la situation (qui serait la langue parlée à propos de…). Les justifications que tu entends apporter aux questionnements de M. Maugis enfoncent le clou si je puis dire ! Ce n’est pas parce que Jung, Rogers ou Plutarque énoncent des choses que celles-ci sont « vraies » ou constituent un argument pour une démonstration. Dans tes affirmations, de nouveau il manque de l’explicitation pour que ce soit compréhensible ainsi que des éléments contextuels qui permettraient de comprendre les pensées de ces auteurs.
Concernant le « faire face » évoqué, cela ne suffit pas car d’une part les gens en souffrance y font face tous les jours (ils vivent avec) et car, d’autre part, rien n’est dit sur le « comment » y faire face. Pour prendre ton exemple tu dis faire face aux remarque de F Maugis mais le comment tu fais face ne change pas. Tu continues à renfort de verbes et de références pour tenter d’affirmer des principes que je perçois bien mal maîtrisés. Qu’il faille écouter, certes ! Ne pas donner de conseil, certes ! Mais il faut bien dire quelque chose à la personne qui adresse cette demande et que la réponse soit autant que possible aidante, soutenante, ouvrante et source d’espoir…
Tu commences par lui dire que tu ne peux la comprendre ? Ah bon ? L’empathie que tu dois connaître est, ce qui permet de te relier aux vécus des autres. Tu ne vis pas ce qu’elle vit mais à minima tu peux t’en faire une idée, la comprendre et chercher dans le dialogue à améliorer cette compréhension de sa situation. Je n’ai pas vécu la Shoa, le harcèlement, la maltraitance, la violence, le racisme, l’homophobie… donc je ne peux pas les comprendre ???? Est-ce bien raisonnable ?
Tu poursuis en disant que ce faisant tu ne peux lui dire quoi faire… ??? Ce qui sous entendrait que ce qu’elle demande c’est cela : lui dire ce qu’elle doit faire. Et pourtant juste après tu le lui dis, puisque tu racontes l’histoire d’une autre femme ayant quitté son mari. Donc finalement tu lui donnes une solution qu’elle ne peut sans doute pas appliquer, et ce faisant tu passes à côté d’une relation de dialogue qui aurait pu amener cette question (de quitter et comment) et bien d’autres encore (jugement n°6).
Et encore : ta tentative de théorisation sur « être présent quand vient l’heure d’agir » en reprenant encore une fois des données de ton expériences personnelle me semble d’une grande confusion sur l’accompagnement et viserait presque à dire, que toi tu fais comme ceci pour t’en sortir, alors les gens n’ont qu’à suivre ton exemple pour s’en sortir eux même.
Défaut de décentration (jugement n°7) et non prise en compte des ressources ou l’absence de ressources chez l’autre (jugement n°8). « Etre présent quand vient l’heure d’agir » : Mais qu’est-ce que ça veut dire ? D’où tu sors cela ? Et quel intérêt pour cette femme ? Le 2ème mail de F. Maugis renchérit sur tes explications qui loin d’éclaircir les choses les rendent encore plus confuses et délirantes.
D’accord avec lui encore pour évoquer des paroles de soutien, de réconfort, de compassion et éventuellement de se mettre en chemin avec elle pour l’aider à trouver des réponses aux diverses questions qui la taraudent (maltraitance, éducation des enfants, jeune fille en détresse et suicidaire…).
Mais si tu considères que tu ne peux la comprendre je comprends moi que tu ne puisses t’engager sur ce chemin, et que tu te réfugies derrières de vieux poncifs philosophico-mystiques … pensées prêtes à portées, qui veulent tout dire et son contraire…(jugement n°9) Alors et pour finir car j’ai déjà passé trop de temps et ma colère et stupéfaction augmentent à mesure que je te relis, ta dernière réponse devait clore la conversation non sans un usage de grossièretés dont je m’étonne encore.
Qu’est-ce qui se passe en toi Farzad pour que tu en viennes à ce genre de propos pour le coup pas très enthousiasmants. Et que se passe –t-il pour qu’ayant dit que tu arrêtais, tu enchaînes sur une pleine page, de nouveau, d’affirmations et de verbiages toujours confus, sans liens et sans grande cohérence ? Là aussi une analyse de texte pourrait t’éclairer mais franchement je n’en ai pas le temps.
Je prends conscience à mesure que j’écris de la colère mais aussi de l’inquiétude pour toi Farzad. Je pense que tu devrais t’arrêter, faire une pause et reconsidérer tes postures et attitudes face à tes projets tes ambitions et les moyens que tu utilises.
Non seulement il y a danger pour toi mais aussi pour les autres. Il faut que quelqu’un te le dise. Alors c’est moi ; je prends ce rôle, pas de bon cœur, mais il faut que tu l’entendes car tes attitudes et paroles peuvent être totalement contre productives voire dangereuses. L’as-tu déjà envisagé ?
Quelle a été ta formation dans le secteur de l’aide, de l’accompagnement ou de l’animation ? Tu sais, l’enthousiasme ne suffit pas. Tu me fais penser à ces gens qui œuvre dans les courant de l’amour et de la bienveillance absolue ; arguant du fait qu’en inondant (on se demande comment) les situations d’amour, de paix, de bienveillance ou d’enthousiasme, cela permettrait le changement et la résolution de problème. Désolé de mettre un caillou dans ta chaussure mais ce n’est pas aussi simple (jugement n°10). J’étais venu voir ce qu’il en était d’un projet autour de l’accompagnement à la parentalité et je me retrouve face à un organisateur en proie à ce que certain nommeraient des propos délirants, incohérents, confus, marqués par une instabilité de la pensée, des associations improbables et fantasques, des références mal placées et mal comprises… Tout cela manque effectivement de professionnalisme, de solidité et je ne souhaite pas, plus, être associé à ce projet qui n’en est pas un…
Je remercie Nicolas enseignant en retraite et le Monsieur de la mairie de Saint-Benoit (Sébastien) pour les échanges ainsi que M. Maugis. Sans prétendre à de hautes pensées il est possible d’être dans un contact sain, efficace et productif. Il ne semble pas que ce soit la marque de votre projet. Je ne veux pas perdre mon temps à devoir gérer les problèmes des personnes qui sont sensés accompagner celles qui en ont le plus besoin. Vous serez gentil de me rayer de la liste de diffusion, avec enthousiasme bien sûr (sic) !! Bien à vous tous Serge Esnault Psychologue de l'Education Nationale Diplomé CNAM/INETOP Paris 1994 & Psychothérapeute Certifié EPG (Paris - 2004) et IFGT (Bordeaux - 2008)



De: Farzad Felezzi <felezzif@gmail.com> Objet: Projet parents relais Date: 22 novembre 2018 à 00:25:58 UTC+4 À: sergesnault <sergesnault@wanadoo.fr> Cc: "energie.environnement" <energie.environnement@wanadoo.fr>, Paulus Frédéric <paulus.fred@orange.fr>, Guy Roger zone libre <guyr974@gmail.com>, Léa Amussat <lea.amussat@orange.fr>, Nalini <nalramdhanee17@gmail.com>, nicolas avriama <nicolas.avriama@gmail.com>, Marc <poumadere@wanadoo.fr>, sebastien hoareau <sebastien.hoareau@ville-saintbenoit.re>, FERROUL Chantal Réunion <chantal.ferroul@orange.fr> Bonjour à tous, Après m'être remis en question. Je présente toutes mes plus plates excuses à l'ensemble de cette liste. Pour tous les dérapages auxquels vous avez assisté. J'en prends l'entière responsabilité ! Je vous demande pardon d'avoir été si grossier et méprisant à votre égard. Je suis fier et orgueilleux avec une grosse tendence à l'hyperintellectualisation (peut être un échappatoire à la souffrance) j'ai l'aphorisme faux, la philosophie très approximative. Peu ou pas de références ! Qui suis-je ? Personne Que sais-je ? Rien Je n'ai ni votre expérience ni vos diplômes en accompagnement, en sciences et psychologie. En fait je suis un immigré iranien (carte de séjour temporaire), je vis en France depuis 1989 , à la réunion depuis un an, je n'ai qu'un Master 2 en création d'entreprise, depuis ma faillite et le décès de ma mère d'un cancer en 2012 - 2013 ma vie est une série d'échecs. Aujourd'hui je vais là où je peux servir, je suis au RSA et c'est la femme avec qui je vis qui paye le loyer tout en portant l'enfant qu'on accueillera ensemble en février (Merci chérie) Mon intention est de servir et non l'inverse. J'accepte l'inefficacité de la méthode que j'ai suggéré, je suis incompétent pour animer un groupe projet, cest pourquoi Je me retire du rôle temporaire d'animateur bénévole que j'ai accepté et exercé avec beaucoup de joie et de sincérité, tout en restant au service du projet à hauteur de mes modestes moyens et compétences, Pour le bâtir ensemble. A quoi pourraient ressembler les prochaines rencontres ? À vous de décider. Je vous suis reconnaissant d'avoir participé à la première réunion du relais parents citoyens. Le 31 octobre 2018 Merci pour vos témoignages, vos retours et feedback constructifs. (Et toute votre patience) éclaircissements préalables - je ne suis pas l'organisateur (juste un bénévole qui animait la première session) - l'organisateur est l'association le Cevoi sous la direction de Frédéric Paulus accompagné par Danielle Amussat. (Voir article de presse) Pardon si l'attention s'est portée sur ma personne. Car dans ce projet... Je ne suis personne. La gènese du projet (depuis mon regard) - Frédéric P. m'a demandé conseil pour diffuser en conférences ses recherches sur la mort subite du nourrisson - je lui ai dit que c'est un sujet à la fois tabou, peu populaire et connu de quelques spécialistes seulement. Pour sensibiliser le tout public il serait bon de l'intégrer dans une démarche englobant tout le processus de développement de l'enfant depuis la naissance à l'adolescence par exemple. Les familles confrontés à cette épreuve de la mort subite du nourrisson pourrons y trouver ressources et soutien, en toute discrétion. - avec un language simplifié, compréhensible par tous. - ce serait l'occasion de partager et populariser bon nombre de recherches sur l'éducation et le développement - c'est là qu'il a été décidé de revenir a l'idée de la maison des parents que Frédéric Paulus a mis en place en 1984 déjà. Le mode opératoire - j'ai proposé le format d'échanges participatif assis en cercle et que Frédéric Paulus à accepté - dans une démarche de co-creation par les parents - l'idée est que l'action émerge du collectif - avec un éclairage scientifique donné par Frédéric Paulus à la fin Est-ce la bonne méthode ? Je ne sais pas. Au regard des feedbacks Le premier test n'est pas convainquant. Que proposez vous ? Le compte rendu - c'est Frédéric Paulus qui s'est donné la peine et la joie de le rédiger. - il me l'a présenté demandant si j'avais quelque chose à y rajouter et j'ai inscrit ma méthode et la philosophie avec laquelle j'agis. - j'ai proposé l'idée que ce compte rendu soit rédigé de façon participative par le collectif afin que les apports et témoignages de chacun y figurent - je vous ai envoyé un mail en vous demandant de bien vouloir inscrire sur le compte rendu vos retours, modification, et idées. Avant de le signer. Nous sommes aux prémices des relais Bien sûr il y a beaucoup d'améliorations à apporter et nous sommes là pour le faire ensemble (si vous le voulez toujours) 1) faire une communication ciblée qui parle aux parents et à tous professionnels qui les accompagnent 2) organiser les prochaines réunions dans des associations de parents qui œuvrent dans les quartiers. Saint Benoît à proposé une association. Quels sont les coordonnées ? Quelle date ? Qui anime ? Sur quels thèmes et comment ? C'est à nous de décider ensemble ! 3) la constitution d'un groupe pilote avec les premiers parents relais qui listeraient les problématiques prioritaires. Avec une réflexion engagé avec les professionnels pour voir comment y répondre. 4) la configuration idéale pour la construction d'une maison des parents. Lieu, Espaces , architecture, mobiler. 5) les modes d'accompagnement, d'écoute, de soins de thérapie au service des parents 6) les activités motivant et créateur de liens et de transferts de savoir entre les parents 7) l'accès à une connaissance par la simplification des recherches, outils et méthodes prèsenté par des chercheurs, psychologues et professionnels de l'accompagnement, et de la santé aux parents. 8) la diffusion et l'essaimage des relais 9) la budgétisation d'un relais et ses frais courants ¹10) les principes et le mode de gouvernance qui régissent un relais 11) les contributeurs des relais Bénévole, mécénes, institutions, donateurs. 12) la présence digitale des relais Site web, e-learning, réseaux sociaux Application mobile Et bien d'autres choses encore Sur Quoi pourraient porter les prochaines rencontres, nous sommes en gouvernance participative et non directive, c'est à vous de décider. En vous référant à l'organisateur et référent projet Frédéric Paulus. Président du Cevoi. Tel : 0692296569 Cordialement Farzad Felezzi

 
 
 

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